J’ai toujours eu un agenda bien rempli… Et ça continue, à un autre rythme bien sûr. Aujourd’hui, je prends le temps de savourer.

J’adapte mon mode de vie

Je tiens à être organisé car quand on arrête de travailler, on peut avoir tendance à refuser les contraintes horaires : se lever tard, sauter certains repas, ne rien programmer, traîner à la maison… Avec le risque de se laisser aller et de ne pas se sentir très en forme. Moi, je me fixe un emploi du temps. J’ai compris l’importance de garder un rythme régulier, et pour le corps et pour la tête.

La fameuse horloge interne…

Mon médecin m’a confirmé qu’un mode de vie trop sédentaire, sans sortie, sans activité, avec trop de temps au lit sans dormir dérègle notre horloge interne. Et comme c’est elle qui assure l’alternance veille/sommeil, ça se traduit par des troubles du sommeil et de la vigilance. Du coup, j’essaie de me lever à heure fixe et, dès le réveil, j’ouvre les volets : la lumière donne le « top départ » à l’organisme pour se synchroniser.

Je me donne un cadre

Je passe pas mal de temps en extérieur pour emmagasiner la lumière et faire le plein d’énergie. Autant que possible, je prends mes trois repas à heures régulières. Si besoin, je m’offre une sieste de 20 minutes maximum pour ne pas empiéter sur mes nuits. Côté activités, je m’implique dans une association. Et puis, je retrouve des copains, on s’organise des petites sorties : cinéma avec Pierre et Jacqueline, randonnée avec Jacques et Jean-Louis. Et le soir, pour être sûr de bien dormir, je me prépare au sommeil : il ne vient que dans un corps et un esprit au repos.